Stupeur en ce début d'année 2016, quand Sony Pictures dévoile les premières images de son reboot Ghostbusters, produit par Ivan Reitman et dans lequel apparaissent les acteurs et co-auteurs du film original (à l'exception de Harold Ramis, décédé en 2014). Malgré le parrainage de l'équipe originale, le public s'étrangle d'indignation. Ce nouveau Ghostbusters a-t-il annoncé être composé de longues digressions façon cours de physique ? Met-il en scène des fantômes à la Casper, trop gentils pour nous faire sursauter ? Les nouveaux chasseurs de fantôme sont-ils tous les quatre les acteurs les plus détestés de Hollywood, spécialisés dans des rôles de serial killer ? La bande annonce est-elle assurée par Doris Day ? Non, ce qui déclenche cette tempête, c'est que les personnages principaux sont tous féminins. Rendez-vous compte, quatre femmes, alors qu'une suffit souvent à rétablir l'équilibre (avec un Noir et un nerd).
mardi, 19 juillet, 2016
Ghosbusters et le sens de l'empathie
Par Aude le mardi, 19 juillet, 2016, 11h46 - Textes