Mon blog sur l'écologie politique en cinq textes
Par Aude le dimanche, 5 janvier, 2014, 09h22 - Annonces - Lien permanent
Il y a dans les blogs plein de billets qui méritent plus que la semaine pendant
laquelle on les visite massivement. Moi qui peux utiliser comme une référence
le même article ou le même livre pendant des mois et des années s'il reste
pertinent à mes yeux, utile à ma réflexion, je souhaite donner une deuxième vie
à certains des textes que j'ai écrits l'année dernière en en proposant une
sélection drastique.
Cinq textes, donc, pour remettre en lumière cette intuition que je creuse depuis l'hiver dernier : nos sociétés sont travaillées par un individualisme et un libéralisme que nous ne soupçonnons pas et qui s'immisce jusque dans les milieux militants. En espérant que 2014 sera l'occasion d'approfondir et de trouver une forme plus satisfaisante à ma réflexion, et en vous souhaitant à vous aussi de mener à bien vos projets les plus fous.
Cinq textes, donc, pour remettre en lumière cette intuition que je creuse depuis l'hiver dernier : nos sociétés sont travaillées par un individualisme et un libéralisme que nous ne soupçonnons pas et qui s'immisce jusque dans les milieux militants. En espérant que 2014 sera l'occasion d'approfondir et de trouver une forme plus satisfaisante à ma réflexion, et en vous souhaitant à vous aussi de mener à bien vos projets les plus fous.
« Des droits et des
devoirs »
Vu de Penang en Malaisie, et depuis un guidon, je remets en cause la régulation libérale de nos relations par le droit et l'oppose à une régulation communautaire, à travers la notion de devoirs que les personnes se reconnaissent les unes envers les autres.
« Le revenu garanti en ligne de mire »
Ma volte-face sur le revenu garanti, en guise d'interrogation sur ses effets secondaires dans une société disposée à l'exclusion et au renvoi vers l’État des solidarités communautaires.
« La Cause ne dit pas merci »
Et si les milieux militants « de gauche » étaient les moins à même de fabriquer des « liens qui libèrent », un rapport aux autres basé sur la circulation des dons et des contre-dons ?
« Do-it-yourself : de Castoriadis à Castorama »
Reprise pour parution papier de trois billets critiques du DIY : comment articuler déprise de la société de consommation, entretien de liens sociaux, économiques et humains, et respect pour les métiers ?
« Féminisme : pourquoi tant d'intérêt ? »
Alertée par des usages de la théorie queer pour nier la spécificité de la critique féministe, et avec l'aide de la lecture de Léo Thiers-Vidal, je m'interroge sur la place des hommes qui se disent attachés à l'égalité femmes-hommes.
Et la plus belle forme que j'aie trouvée cette année pour faire part de mes interrogations sur cette question de ce qui nous relie, c'est un dossier de L'An 02, « Ensemble, c’est trop ? »
Vu de Penang en Malaisie, et depuis un guidon, je remets en cause la régulation libérale de nos relations par le droit et l'oppose à une régulation communautaire, à travers la notion de devoirs que les personnes se reconnaissent les unes envers les autres.
« Le revenu garanti en ligne de mire »
Ma volte-face sur le revenu garanti, en guise d'interrogation sur ses effets secondaires dans une société disposée à l'exclusion et au renvoi vers l’État des solidarités communautaires.
« La Cause ne dit pas merci »
Et si les milieux militants « de gauche » étaient les moins à même de fabriquer des « liens qui libèrent », un rapport aux autres basé sur la circulation des dons et des contre-dons ?
« Do-it-yourself : de Castoriadis à Castorama »
Reprise pour parution papier de trois billets critiques du DIY : comment articuler déprise de la société de consommation, entretien de liens sociaux, économiques et humains, et respect pour les métiers ?
« Féminisme : pourquoi tant d'intérêt ? »
Alertée par des usages de la théorie queer pour nier la spécificité de la critique féministe, et avec l'aide de la lecture de Léo Thiers-Vidal, je m'interroge sur la place des hommes qui se disent attachés à l'égalité femmes-hommes.
Et la plus belle forme que j'aie trouvée cette année pour faire part de mes interrogations sur cette question de ce qui nous relie, c'est un dossier de L'An 02, « Ensemble, c’est trop ? »